I -Introduction

L’ensemble du cadre de l’apprentissage rigoureux des charmes et des sortilèges se défini de manière intrinsèque autour des premiers fondements de la magie. Le flux est au coeur du sorcier, ce que la formule et la prononciation sont aux membres du corps. Et si le chemin à l’excellence de la dextérité est tortueux il ne peut se former que par les connaissances des bases introductrices; FGCV. La formule est défini comme une communication rudimentaire entre le flux et l'intention, cette même intention étant fondamentale aux premiers cycles. La gestuelle, ou l’art de la motion est immuable puisque défini à la procréation et est strictement irremplaçable en limites de l’enseignement. La concentration; est ni plu ni moins qu’un mime intellectuel qui se travail mais qui ne se défini, matière à exercer dans l’automatisme de cet art. La visualisation, dernier travail de l’étudiant est une sublimation de la concentration étudier notamment dans les arts métamorphiques ou manifestations complexes de cette unité d’enseignement.
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II - Éléments d’un bon Sortilège

De manière théorique la manière d’user d’un bon sortilège se traduit en quelques mots: Intention, concentration, formule et gestuelle.

L’intention est à la base du type de sortilège que le lanceur souhaite utiliser, certaines manifestation magique on un besoin impératif de connaître ou de jouer sur l’état mentale du sorcier. Le cas le plus connu est celui de la magie noire ou le sorcier doit absolument avoir l’intention de nuire, sans cela le sortilège utiliser n’aura qu’un effet gauche ou inexistant. L’intention est également à la base d’une forme de magie non contrôlée souvent à but de nuire et exercé sans baguette, on retrouve fréquemment le cas, chez les jeune enfant de sang-mêlé ou même née moldu.

La concentration est, elle, à la base des sortilèges de grands ampleurs, en effet certains sortilège “débutant” si l’on peut se donner le droit de les qualifier ainsi peuvent être lancés machinalement. Néanmoins l’utilisation d’un art plus complexe tel que la métamorphose nécessite une concentration à travers souvent la visualisation.

La formule n’est pas une obligation générale, en effet pour certains sortilèges ou alors pour la facilité accrue à l’utilisation d’un sortilège la formule est utile. Elle est un élément obligatoire du sorcier débutant. En effet, avec l’expérience un sorcier aura la faculté d’user d’un sortilège de manière “Informuler” pour plusieurs raisons tel que la dissimulation d’utilisation d’un sortilège lors d’un duel ou encore après entravement de la parole.

La gestuelle quant à elle peut être définie pour la plupart des cas ou indéfini. Elle fait l’objet du dernier élément d’un sortilège et le seul élément obligatoire du sortilège. Elle se segmente en gestuelle simple, complexe et coups de baguette… Il est important de savoir que certains sortilèges s'exécute de différentes manières et donc par conséquent de plusieurs gestuelles.  
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III- Les Branches de Sortilèges

Il existe trois types de manifestation magique ou, comme vous préférez nature etc..

Les Enchantements ou Charmes : Ce type de sortilège permet de modifier les différentes propriétés déjà établis d’une forme inanimé, d’un être vivant…  Il peut tout autant en faisant abstractions aux éléments déjà existants faire preuve d’un ajout ou même  soustraire une caractéristique. Souvent on dira qu’il fait agir la personne d’une manière plutôt inhabituel. Pour mieux comprendre la source d’utilisation du mot enchantement, provenu de incantation lui-même engendré par le latin “Incantamentum” soit Incanto “enchanter” suivit du suffix “mentum” sans traduction il s’agit d’un simple suffixe nominal. Incanto est lui-même un découpage de “In” soit “dans” et canto “chanter” effectivement à l’époque il était courant de dire “Chanter des formules”.

Les Maléfices : Le type de sortilège qu’est le maléfice a un objectif simple le principe de nuire à une personne, le maléfice est un type de manifestation magique qui vise le plus souvent à faire souffrir. Un maléfice ne sera pas forcément lié à la manifestation de la “Magie noire” mais fonctionne sur un degré différent de nuisance. Le plus souvent le maléfice sera de type venteux et donc plus compliqué à esquiver. Il existe plusieurs types de Maléfices qui seront vu en DCFM. Le mot maléfice nous permet d’ailleurs directement de nous approprier son utilité, en effet sa racine latine provient directement de maleficium segmenté entre malus et facio. Malus étant défini par l’action d’agir en mal qui donne le sanscrit mala soit la “saleté”, ou encore du grec ancien “μέλας” littéralement noir. Du sens commun “malum”, traduit par “calamité, malheur irréparable, douleur, souffrance, mal, malheur”. Facio quant à lui va envoyer au sens commun “facio, is, ere, feci, factum,” soit faire, créer, produire. La globalité engendrera maléfice qui compose ainsi “Créer du mal, créer du noir, de la souffrance du malheur..”.

Les Sortilèges : Le sortilège quant à lui est un terme dit générique qui permet de rassembler en sa dénomination les termes de Maléfices et Enchantements, néanmoins il détermine aussi les sortilèges qui ne rentrent ni dans la définition d’enchantement ni de maléfice. Le plus souvent il va sagir de sortilèges d'apparitions.
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IV - Les Gestuelles

La gestuelle est un élément principal de l’accomplissement d’un sortilège outre l’intention, la concentration ainsi que la formule. Il s’agit du tracé effectué par la baguette qui caractérise le sortilège auquel le sorcier veut faire appel.

- Geste simple: Un geste simple est un geste que l’on choisit, invente, il se réalise de manière courte. Il faut savoir privilégier et adapter des mouvements selon les sortilèges, pour un sortilège d’explosion nous préférons un geste brusque plus que lent.
Exemple: geste sec, nonchalant , vif , brusque , fluide..

- Geste complexe: Un geste complexe est un geste qui caractérise un sortilège en particulier, pas tout le temps, il existe des doublons complexes.
Exemple: le plus connu, Wingardium Leviosa, tourner et abaisser sa baguette.
- Coup de baguette: Un coup de baguette permet de faire apparaître une flèche, une étincelle ou encore une détonation plus ou moins forte selon votre convenance. Ils peuvent égalements servir à dévier un sortilège, si sa manifestation magique le permet.
Exemple concret: * Envoi une légère détonation en direction du ciel d’un coups de baguette.*

A noter qu’une gestuelle caractérise le sortilège, exclusivement à ce fait le sorcier doit savoir adapter sa gestuelle lorsque celle-ci est simple selon l’agissement de la forme de magie et de la complexité du sortilèges. Nous préférons donc, une gestuelle brutale pour un sortilège explosif, un mouvement fluide pour une gerbe de flamme si ce dernier agit selon une gestuelle dite simple... Il est possible que le sorcier fasse la triste erreur de confondre une gestuelle simple d’un sortilège simple. En effet, même si certains sortilèges s’utilisent via un mouvement dit “simple” ils n’en demeurent pas moins complexes. Comme par exemple, les sortilèges impardonnables…
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